Comment J'Y Suis Venu Ep 8 : Je Laisse Tomber
COMMENT J'Y SUIS VENU
EP 8 : JE LAISSE TOMBER
Il me proposait de me sucer la queue ! Bein mince alors ! C'est que j'ai rien contre moi !
Moi : Bon d'accord je te laisse faire mais c'est bien pour te faire plaisir
Francis : Tu es sérieux là ?
Moi : Oui bien sûr, je suis prêt à me sacrifier pour te faire plaisir
Francis : J'y crois pas !
Moi : Bon tu te décides avant que je ne change d'avis ?
Francis : Je ne sais pas j'hésite
Je ne sais pas si j'ai le droit de te demander un tel effort
Moi : Mais si tu as le droit. Mais si tu as le droit !
Francis : Peut être pas tant que ça ! J'apprécie beaucoup ton sens du sacrifice mais
Vois-tu
Moi : Oublie ce que je viens de dire
Je suis ton jouet sexuel et tu as le droit de t'amuser avec moi !
Francis : Tu n'as pas peur si je te dis que je cassais souvent mes jouets quand j'étais petit !
Moi : Mais je suis solide, je ne casse pas facilement moi !
Francis : Peut être mais
Moi : Et puis je suis ton esclave sexuel, tu n'as pas oublié ?
Francis : Ça ne risque pas tu es nul comme esclave sexuel !
Moi : Je ferai un effort mais vas y suce moi.
Francis : Tu es demandeur finalement !
Moi : Mais pourquoi il a fallu que je rajoute mon commentaire moi ?
Pendant tout ce temps j'avais ouvert et retiré mon dispositif et je commençais à me tripote, rapidement je bandais
Moi : Francis !
Francis : Oui mon petit Dean .
Moi : Suce ma queue !
Francis : OK !
C'est vraiment un bourrique quand il s'y met celui-là ! C'est vrai que moi aussi, j'aurais mieux fait de me taire ! Bon finalement on y arrivait, je me laissais tomber sur le fauteuil, les jambes bien écartées.
Bien installé je ne bougeais plus
Je bandais ferme
Ça vous étonne ?
Il est mignon quand il veut Francis mais il y a des fois ou il un peu
Bourrique ?
Ouai bourrique c'est le mot exacte !
Par contre il suce bien !
J'avais presque oublié ce que ça faisait, mais c'était bon, c'était tellement bon
Et en plus il fait ça bien ! Moi aussi mais c'est pas de moi qu'il s'agit là
Mais il fait ça vraiment bien quand il veut, et là, il s'appliquait !
Il avait d'abord commencé à passer sa langue sur mon gland, doucement en prenant bien son temps.
Je n'avais rien à faire et je sentais ma queue se contracter par intermittence sans que je contrôle quoi que ce soit. Par moment la sensation devenait plus forte et je sursautais. Je me relevais alors sur mon fauteuil, me contractais et m'accrochais aux accoudoirs
Il ralentissait le mouvement, me frôlait plus qu'il ne me touchait et quand je me détendais enfin totalement il reprenait.
Il savait faire durer le plaisir, et heureusement, sinon je ne vous dis pas , ( oh et puis si je vous le dis ) j'aurais éjaculé en un rien de temps
Ça faisait quand même plus d'un mois que ça durait cette histoire
C'est pas humain, j'ai vraiment des idées de malade
On m'a souvent dit que j'étais grave, et ceux qui m'ont dit ça ne savaient pas pour le '' truc '', je ne sais pas ce qu'ils auraient dit si ils avait su ?
En tous cas il suce bien Francis. Plus d'un quart d'heure s'était passé et il avait réussi à me donner un plaisir fou sans me faire juter. Je respirais fort, et souvent je me cramponnais aux accoudoirs. Heureusement qu'ils étaient en tissus, en cuir j'y aurais laissé la trace de mes ongles
Maintenant il me branlait avec douceur, un coup de langue puis il reprenait. Il finissait pas la prendre dans la bouche. J'avais toujours pas éjaculé, je ne comprenait pas comment ça pouvait durer aussi longtemps. C'était bon, tellement bon que normalement j'aurais du en finir depuis un bon moment ! Mais il devinait le moment ou j'allais tout lâcher et il s'arrêtait un peu avant. Il ne m'avait jamais sucé comme ça avant !
Il avalait mon gland maintenant et appuyait sa tête de plus en plus. Ma queue entrait maintenant à moitié. Je sentais sa langue, il ne la bougeait presque pas, il ne voulait pas faire jouir trop tôt.
Il ne mollissait pas, il avalait ma queue complètement maintenant et je ne jutais toujours pas. C'était un truc de fou, je ne parvenais pas savoir si c'est moi qui me retenais ou bien si c'est lui qui était assez habile pour ne pas me pousser trop loin, je tremblais à chacun de ses mouvement j'avais l'impression que j'allais éjaculer et
Rien !
Ma queue s'enfonçait jusqu'au fond de sa gorge maintenant à chaque fois qu'il penchait sa tête vers moi, son nez s'écrasait sur mon ventre et il faisait des bruits de succion. Depuis un petit moment il ne se retenait plus
Non il ne se retenait plus de me faire jouir, c'est au contraire ce qu'il voulait faire maintenant. Ça ne venait pas, je tremblais, je me cramponnais de toutes mes forces, je contractais tous mes muscles, je serrais les dents. Rien ne venait.
Puis sans que rien ne me prévienne je sentais en quelques secondes seulement un plaisir monter, je passais le point de non retour et quelques secondes plus tard sans avoir rien montré j'éjaculais dans sa bouche. J'éjaculais plusieurs fois de suite, il encaissait sans broncher et continuait à me sucer encore pendant un long moment après ça.
Il finissait par relever la tête et me regardant l'air bête
Francis : Et bien c'était quelque chose !
Je le regardais sans bouger, j'étais toujours aussi contracté, je respirais toujours très fort mais plus lentement. Je me sentais bien, soulagé
Peu à peu mes muscles se détendaient et je retombais sur mon fauteuil. Quelques instants plus tard j'étais effondré de mon poids au fond du fauteuil, tous mes muscles étaient détendus, je n'étais pas seulement soulagé, c'était bien plus.
Dans les semaines qui suivaient je reprenais le rythme de ma vie habituelle. Je me faisais sucer, je suçais tout ce traînait, je me branlais, je branlais qui le voulait bien, je me faisais branler, j'enculais qui je trouvais et me faisais enculer par qui le voulait bien
En un mot la banalité quotidienne d'un obsédé sexuel plutôt mignon, disponible, actif-passif !
Je sortais beaucoup comme si j'avais du temps à rattr.
C'était un défi que je m'était lancé et je l'avais gagné. Je pouvais être fier de moi. Aussi je décidais clairement que j'en resterais là.
J'avais découvert de nouvelles sensations, c'était pas tous les jours facile, mais j'avais parfaitement surmonté l'épreuve. Je pouvais abandonner sans honte.
J'allais revenir à ma vie normale genre
Métro, boulot, sodo
Finalement c'est bien mieux. En plus je sais ou je vais en vivant comme ça ! Donc je laisse tomber.
Finalement c'était pas si dur que ça ! Bon c'était pas toujours cool mais j'ai découvert des plaisirs exotiques particuliers. Inattendus mais particuliers et finalement
Mais bon j'arrête !
Il y a même des jours ou c'était génial. Mais bon c'est pas pour ça que je vais continuer
Certainement pas ! Je reprends ma vie de libertin et youpi je rigole
Le plus souvent c'était insupportable mais par moment c'était cool.
Et puis quatre semaines c'est bien suffisant. Demain j'arrête !
Mais pourquoi je dis '' Demain '' j'ai arrêté depuis un moment déjà en fait et puis je rigole bien moi, comme ça ! Je ne vais certainement pas recommencer mon expérience moi ! Je suis bien comme je suis là moi !
C'était pas toujours désagréables quand même !
Il y avait des moments ou c'était vraiment
Cool !
Et si je recommençais un peu cette expérience, pour voir ! Juste pour voir ! Pas sur de longues périodes ! Juste comme ça
Ça ne sert à rien ! Non finalement ça ne sert à rien et puis
c'était cool par moment, je ne peux pas dire le contraire !
C'était vraiment cool ! Super cool !
En fait par moment c'était vraiment le pied !
Il y a bien des moments ou c'était atroce mais le plus souvent c'était
Je me souviens de ces matins, au réveil c'était douloureux puis quand j'avais fait une pause pipi, la douleur disparaissait, j'avais cette impression de bander ferme mais sans violence
Quand je dis violence, je veux dire sans gène
Ensuite je bandais encore un moment, je contractais ma queue dans ma cage, ça ne faisait plus mal du tout, c'était même agréable.
Je me souviens quand je passais mon pantalon après une bonne douche, la pression restait forte mais je pouvais oublier les sous vêtements. Il n'y avait pas de risques d'une réaction importune et mes couilles bien fermes se frottaient contre mes cuisses à chaque pas
C'est vrai que c'était cool
Finalement j'ai adoré ça !
Par moment dans la journée, le truc tirait sur la peau de mes couilles. Là ça pouvait faire mal mais il suffisait de réajuster le dispositif, un passage dans les toilettes, un pause pipi et en général ça passait
A part ces moments, c'était cool en fait
Arrivé à ce niveau, je pensais tous les jours à mon dispositif, je ne le portais plus depuis moins d'un mois, je l'avais porté à peine plus d'un mois
Je ne voulais pas me le dire mais en fait j'avais envie de le remettre ! J'y crois pas mais c'est que c'est addictif ce genre de truc.
Et puis il y avait Francis qui se faisait un plaisir de me soulager quand j'étais sous clé
Il est sympa Francis, il a le sens du sacrifice même si je ne suis pas sûr que ça lui coûtait vraiment
Par contre il est hors de question que je lui en parle. Si jamais il apprend que j'ai la nostalgie il va se foutre de ma gueule ! Je l'entends d'ici
Et en plus il voudra que je porte ce truc pendant plus longtemps. Il ne demandera certainement pas que je devienne son esclave sexuel, sur ce point il m'a trouvé trop nul. Mais je suis comme je suis. De toutes façons si il veut un esclave sexuel il n'a se débrouiller pour s'en trouver un le guignol. Moi je suis trop nul il m'a dit
Et je suis d'accord !
Ce soir là, c'était la première fois que je me faisais ces réflexions. La première mais pas la dernière. Je reprenais ma vie fantasque et libertine en oubliant toutes ces pensées
J'oubliais rapidement ces idées mais ces idées elles ne m'oubliaient pas
Je travaillais, pas tout le temps et quand je ne travaillais pas, soit je dormais soir je faisais la fête
Finalement c'était une variante du '' Métro, Boulot, Sodo '' pour moi c'était '' Boulot, Sodo, Dodo ''
C'est bien aussi !
On organisait des soirées entre copain. Robert, Didier, Gérard
Les plus proches venaient régulièrement. Ils avaient tous remarqué que j'étais plus câlin depuis quelques temps et ils en profitaient
Un soir chez moi, on était particulièrement chaud. Quand je dis on je parle de moi bien sûr
J'avais un peu bu, Didier revenait de vacances, on était en hiver mais il était tout bronzé la gars. Je ne pouvais pas lâcher du regard sa poitrine brune qu'il prenait le plus grand soin à ne pas dissimuler en ouvrant largement les premiers boutons de sa chemise.
Plus la soirée avançait, plus le nombre de boutons ouverts augmentait. La soirée était loin d'être finie qu'on voyait son nombril. Il l'avait remarqué le clown que je le regardait. Je ne sais pas ce que j'avais ce soir là mais je ne m'occupais pas du tout de Francis. Ça ne semblait pas le déranger, lui il ne lâchait pas Robert.
C'est vrai qu'il est bien aussi Robert. Mais qu'est-ce qui me prenait ce soir là ? Il me les fallait tous ou quoi ? C'est la chasteté qui me faisait ça ? Je dis n'importe quoi, c'était fini ça. Fini depuis des semaines, totalement oublié, du passé. Je ne sais même pas pourquoi j'y pensais à ce moment.
J'y pensais tellement que je pensais surtout à ça. J'avais envie de sentir ma queue confinée dans une cage comme quelques semaines plus tôt. Au moment ou Didier passait juste à côté de moi, je sentais sa chaleur, je passais ma main sur son torse, j'avais un verre à la main, il s'approchait du bar et se servait un verre. En réponse il me donnait un baiser juste en dessous de l'oreille. Un baiser très doux, je bandais
Francis me faisait un sourire, il ne lâchait plus Gérard
Il est bien aussi Gérard. Je les connaissais bien ces trois là
Bien sûr, là vous vous dites
On avait deviné qu'il les connaît, il nous a dit que c'était une soirée entre copains
Évidemment mais ce que je veux dire c'est que
J'ai baisé avec eux
Avec chacun d'eux
Sinon j'aurais pas dit que je les connaissais bien
Je suis un mec sérieux moi ! Enfin !
Bon je disais quoi moi avant ce commentaire totalement déplacé ?
Oui ! Donc Francis devait être aussi chaud que moi, c'est en tout cas l'impression que j'ai eu quand il s'est retrouvé coincé entre Rober et Gérard
Je dis coincé mais il n'essayait pas de se dégager
Peut être pas si coincé que ça finalement. Mais n'allez pas vous imaginer que Francis est un garçon coincé, c'est pas du tout le cas ! J'en sais quelques chose !
Didier non plus il n'est pas coincé, on discutait de choses et d'autres, un verre à la main. On s'était rapproché, je lui caressais le torse en lui faisant remarqué son bronzage. Il était allé passer des vacances à l'autre bout du monde et il revenait plus beau que jamais, ça ne le dérangeait pas de me montrer son bronzage, sa chemise était sortie de son pantalon et tous les boutons étaient ouverts. Il se penchait vers moi et me donnait un baiser très tendre dans le cou. Il continuait à me donner des baiser jusqu'au moment ou ses lèvres se posaient sur les miennes.
Un instant je jetais un il vers Francis. Il était maintenant complètement écrasé entre Rober et Gérard mais il arrivait encore à respirer donc tout allait bien aussi de ce côté là. A ce moment je ne pensais plus du tout à la chasteté, je pensais à la queue de Didier, je la sentait contre ma cuisse dans son pantalon. Bien dure, bien ferme
Un peu trop peut être, je m'étonnais un peu
A bein non c'était son téléphone !
Nous avions posé nos verres, et il me tenait dans ses bras. J'avais passé mes mains sous sa chemise, j'adore la douceur de sa peau et je ne sais pas si ça venait de moi ou de son bronzage mais, ce soir là je trouvais sa peau particulièrement douce. C'est même sans le faire exprès ( ou presque ) que mes mains passant sur ses épaules faisaient tomber sa chemise, et c'est probablement presque sans s'en rendre compte qu'il laissait faire.
Il se serrait contre moi et
J'avais un doute et me disais finalement : '' Oui cette fois ci c'est pas son téléphone
C'est prometteur, il est en forme !'' .
Je me penchais pour me mettre à genoux et d'un geste il me retirait ma chemise. Encore un coup d'il vers les trois autres, ils étaient torses nues et d'où j'étais j'avais du mal à deviner à qui étaient chacun des bras qui dépassaient un peu partout
Donc tout allait bien !
J'ouvrais et baissais le pantalon à Didier, il bandait ferme et en effet c'était pas son téléphone. Je le suçais avant qu'il n'ai le temps de me le demander. Il m'encourageait avec une caresse dans mes cheveux et donnait des petits coups de bassin.
Rapidement je prenais sa queue dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. Il appuyait légèrement sur ma tête, il avançait le bassin, un peu comme un réflexe qu'il ne pouvait pas retenir. Il y allait doucement. Son pantalon tombait totalement sur ses chevilles. D'un mouvement des pieds il jetais ses chaussures et son pantalon plus loin et se retrouvait nu devant moi. Je me relevait lentement en couvrant son corps de baisers.
Quand mes lèvres rencontraient les siennes de nouveau il glissait ses mains sur mes fesses, juste sous mon pantalon. Ses mains passaient devant moi et mon pantalon s'ouvrait tout seul ( en tout cas moi j'ai rien fait ) il tombait sur mes pieds. Je faisais comme lui, j'étais nu et me collait à lui. Mais c'est que ses fesses aussi étaient bronzées
On se frottait l'un contre l'autre, chacun caressait l'autre avec son propre corps. C'était doux, chaud, tendre
Le mouvement de nos corps ressemblait à une danse sensuelle . Il me glissai à l'oreille
Lui : Tourne toi
Moi : Non
Lui : Contre moi
Moi : Non, pas comme ça
Lui : Et danse
Je me retournais.
Moi : Et tu les as pris ou ces réplique ?
Il rigolait, à ma question, je sentais une forte pression contre mon anus et il ne rigolait plus quand je le sentais enfoncer sa queue dans mon cul. Là je respirais fort ! Je gémissais et je soupirais, c'était bon. Ma bite se relevait devant moi, je la caressais avec douceur et de nouveau je me l'imaginais enfermée dans une cage. J'imaginais la pression que je devrais ressentir sur toutes sa longueur, sur tous les côtés en même temps. Je l'imaginais poussant contre les barreaux de cette cage. Je poussais un cri au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, il poussait de toutes ses forces.
J'avais l'impression qu'il voulait me soulever, il me plaquait contre le mur et continuait ses mouvements, il se retirait et revenait, ses mouvements étaient amples et lents. La seule envie que j'avais sur le moment, c'était de grimper au rideaux.
Je jetais encore un il vers nos trois autres amis. Ils ne bougeaient plus. Francis était toujours coincé entre les deux autres mais il n'était pas encore violet donc il pouvait toujours respirer, moi je devais être tout rouge, j'avais le feu au visage. Ils regardaient tout les trois dans ma direction !
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